Il était une fois
Nature en friche laissée aux pourceaux
Dans un village perdu au fond des montagnes,
Ruine oubliée que le mépris et l'ignorance environnait.
En ce lieu, funeste à n'en pas douter
bien que fort négligé par la plèbe interressée
Un démon tisse dans le silence des limbes
Ses desseins pour les âges à venir.
Oh, pardonnez nous nos offenses.
Il a fait promesse, et à juré devant le siège souillé
De nuire, nuire au démon qui trône, trône dans l'orgueil
"Je le jetterai au bas de son piédestal
De se ouailles je tirerai les lamentations
A la coupe de la vengeance, ma soif j'apaiserai."
Qui donc pourra se gausser d'avoir tenté
Dans un effort vain, et non-écouté
d'entraver son réveil, à la bête de Naar,
Et son escalade hors du lac profond?
A l'année nouvelle, un signe se fera voir,
C'est ainsi qu'il est écrit
Mais, sinon le berger impuissant, qui donc saura
voir venir le mal délétère, qui jusqu'au Mal lui même
Ronge en se frottant la panse?
Oh, pardonnez nous nos offenses.
Terreur sur nos visages défaits!
Vouéci les mots que j'avions trouvé dans la crypte, déblayée aujourd'hui même... ça r'semble à une prophétie. Il en manqe des bouts, j'avions reconstitué tout sans trop savouér'... Bizarre. mauvaises fêtes malgré tout... Moué je les passerai dans le doute...