Beaucoup prétendent qu'entre le Bien et le Mal, il n'y a qu'un pas, un léger voile qui sert de frontière. Mais ce n'est pas le seul cas. Ne dit-on pas qu'il n'y a qu'un pas, aussi, entre l'amour et la haine (je déteste mon exemple)? D’autres faits aussi proches que cela peuvent s'y apparenter. Les maladies psychologiques peuvent aussi être mises dans le même sac!
Prenons la dépression. Elle est la ruine morale, l'affaiblissement de sa personnalité face au flux de la vie, souvent il est dû à une crise dans sa vie (ou sa mort pour les morts-vivants), bref, c'est un événement négatif qui touche sa personnalité moralement, c'est un mal. Mais pas toujours, regardez donc le Rêveur, lui il rêve, un rêve ce n'est pas à connotation négatif, sinon ça serait un cauchemar, pourtant il est capable de donner la dépression lui aussi. La dépression n'est donc pas issue d'un mal, mais elle peut être issu d'un bien, trop de bien apporte le mal.
Si vous offrez trop de bonheur à une personne, il peut en déprimer, car il sera trop heureux, heureux d'avoir tout ce qu'il veut, mais trop de bonheur tue le bonheur. Ceci n'est qu'un exemple, on peut l'étendre à plusieurs domaines psychologiques, oui car les autres maladies ne peuvent pas avoir de double sens (ou je ne l’ai pas encore trouvé...).
Un cas de goût, donc issu de sa personnalité: La beauté. Chacun a sa notion de beauté, donc si la putréfaction est un aspect de laideur, trop de laideur ramènera t'il à une beauté? Trop de beauté ramènera t'il à la laideur?
Sérieux, entre la Liche et le Prince Bishonen, je choisis la Liche
En conclusion, entre un mal et un bien, ce n'est qu'une question de proportion, trop de bien peut ramener au mal, mais trop de mal, ramènera t'il au bien?
Bakker arrête d'être aussi méchant, tu commences à devenir gentil...